La dysgraphie recouvre les difficultés à accomplir des gestes graphiques, difficultés à écrire.L’enfant va prendre conscience de son handicap lorsqu’il va comparer sa production à celle de ses camarades. Il risque alors de se décourager car même de gros efforts ne pallieront pas ses difficultés, qu’il ne peut résoudre seul. Il est alors happé par la spirale infernale de la perte de confiance en ses capacités, parfois accentuée par les jugements négatifs de son entourage, et du dégoût, du rejet de l’écriture. Peu d’enfants dysgraphiques aiment écrire !
Ajuriaguerra définit ainsi l’enfant dysgraphique : « est dysgraphique tout enfant dont la qualité de l’écriture est déficiente alors qu’aucun déficit neurologique important ou intellectuel n’explique cette déficience ».
Cette déficience se manifeste par des troubles de la forme et du mouvement, une mauvaise prise de position de l’espace feuille, un manque d’aisance caractérisé entraînant bien souvent de la lenteur.
Ajuriaguerra définit ainsi l’enfant dysgraphique : « est dysgraphique tout enfant dont la qualité de l’écriture est déficiente alors qu’aucun déficit neurologique important ou intellectuel n’explique cette déficience ».
Cette déficience se manifeste par des troubles de la forme et du mouvement, une mauvaise prise de position de l’espace feuille, un manque d’aisance caractérisé entraînant bien souvent de la lenteur.